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En partant de la première optique du Phare Amédée, Valérie Vattier, directrice du Musée, vous raconte l'histoire de l'emblématique Phare Amédée.

Un reportage de NCTV signé Alexandre Sigura

2 documentaires sur cet objet. Interview de Thierry Omont, reportage d'Alexandre Sigura pour NCTV et  La double-barre à roue de la Seine on Vimeo, capsule vidéo réalisée par Patrice Fesselier-Soerip du Vice-Rectorat de la Nouvelle-Calédonie

Cette double barre à roue provient de la Seine, une corvette royale de guerre qui fit naufrage au large de Pouebo en 1846. Dans un climat de tensions entre l'Angleterre et la France, une mission secrète avait été confiée au commandant qui devait se rendre en Nouvelle-Calédonie, 7 ans avant la prise de possession....

Retrouvée sur le site du naufrage, avec les pieds en bronze d'origine, la partie en bois de la double barre à roue fut restaurée par la section ébénisterie du lycée Petro Attiti de Nouméa en 2009.

 

 

 

Le buste de l'Inconnu de Vanikoro a été reconstitué à partir du crâne du squelette retrouvé sur la Boussole en 2003....L'ADN du squelette nous révélera peut-être un jour son identité....

Un reportage d'Alexandre Sigura pour NCTV

Le safran du Roanoke est le plus grand safran en bois du monde, il mesure 14 mètres de haut, 1 mètre de large (au plus large) et pèse 3 tonnes. Ce safran est aussi l'une des rares pièces retrouvées par Fortunes de Mer sur l'épave du Roanoke, minéralier qui fit naufrage en 1905 à Kouakoué après avoir pris feu. Sur cette pièce, les six aiguillots en bronze tout comme la plupart des chiffres en plomb qui servaient à évaluer la charge du navire, sont toujours en place.

Le safran est un élément du gouvernail, situé à l'arrière du bateau, qui permet de le diriger.

 

  

 

 

Ces perles retrouvées sur l'épave de la Seine, corvette royale qui fit naufrage au large de Pouébo en 1846, sont des perles sculptées dans une dent de cachalot. Elles composaient un collier royal polynésien ou "lei". Extrêmement rare, on en trouvait encore quelques spécimens à Wallis et Futuna ou Tonga au 19ème siècle. La Seine, avant de faire naufrage en Nouvelle-Calédonie, avait bien fait escale à Tonga puis à Wallis et Futuna....

Vous pouvez découvrir sur cette photo un collier royal polynésien, celui-ci fut collecté par le gouverneur Louis Joseph Bouge à Wallis et Futuna en 1911-1912.